#GOUVERNANCE #ENGAGEMENTRH # DIRIGER
Développer la capacité d’action des collaborateurs est un enjeu essentiel pour toutes les organisations.
Il s’agit :
- Pour l’entreprise : de maximiser la capacité d’un collectif à faire face à un environnement complexe et incertain en démultipliant sa capacité d’innovation, de production et aussi sa capacité à prévenir et gérer les risques. Faire face à la « surprise stratégique » nécessite en effet de capitaliser sur des univers mentaux différents.
- Pour le collaborateur : de trouver sa juste place, le point de jonction entre une « performance » individuelle et « utilité » collective.
Cela suppose de créer les conditions qui permettent à chaque collaborateur de prendre sa part de responsabilité.
4 ingrédients me semblent nécessaires :
- Une gouvernance claire & partagée : une raison d’être clarifiés, des modalités de décision partagées, des rôles et des responsabilités définis.
- Une incitation à « bien se connaitre » pour autoriser la rencontre avec l’Autre et faire de la différence une richesse.
- Des modalités de fonctionnement qui contribuent à faire « circuler l’énergie » : RETEX, mode projet, boite à idées…
- Un mode de management « de soutien » (« leading by behind », « servant leader ») pour permettre au dirigeant de conserver son rôle de chef d’orchestre et incarner la « confiance » …qui commence aussi par la confiance en soi. C’est parfois là que les choses parfois se corsent 😊.
Je remercie Bruno Chaintron, spécialiste de la transformation des organisations (fondateur de Role crafting) de m’avoir donné l’occasion de partager un point de vue sur ce sujet. Tout était déjà là (c’était en 2019) mais je ne le savais pas encore.